C’est la phrase que je me suis dit en préparant les couronnes de l’Avent et les chocolats aux plantes pour le marché de lendemain (vous voyez, la procrastination ;)).
J’étais triste. Moi, l’une des rares personnes adultes qui assume d’adorer Noël et surtout la période de l’Avent… Et là, ni le «Chantier Noël » qui consistait à préparer les lots de décorations à la ressourcerie, quelques jours avant, ni le fait d’écouter les playlists de Noël n’ont amorcé ce « truc ». Pire, j’ai senti seulement ce que pas mal des adultes ressentent : le mépris de l’aspect commercial, le sentiment d’obligation, etc. Ce sentiment est horrible, je vous plains si jamais c’est votre cas .
Avant de vous dire comment ça s’est fini, je vous assure que les prochaines fenêtres du calendrier de l’Avent de cette année seront différentes. Je vais essayer de partager ce que j’ai appris cette année (ou avant) : quelques réflexions concernant la pépinière (et pas ma petite personne comme aujourd’hui ). Peut-être les dimanches resteront-ils un peu plus personnels, je verrai
Alors, comment ça s’est terminé : un morceau de Boney M, Mary’s Boy Child, m’a enfin ramené à la raison pour laquelle Noël a été célébré à l’origine. Et ce que j’adore dans la période de l’Avent, c’est qu’elle marque le début de l’année liturgique. C’est une période de dépouillement, avec l’envie de se préparer intérieurement, d’accéder à l’essentiel, souvent grâce aux petites résolutions. Alors là, je travaille sur moi-même et sur ma relation aux réseaux sociaux, et je vous propose, comme l’année dernière, ce petit calendrier de l’Avent.
À demain si vous le voulez bien .