9/24 Astuce N°4

Même si je me suis formée à la culture et transformation de PPAM, ce n’est pas la partie principale de mon travail. J’ai mis du temps à trouver ma manière de faire – le stockage

Les professionnels utilisent souvent des sacs en kraft double épaisseur et un autre récipient plus étanche, ou des étagères en milieu sûr (humidité, rongeurs, mites). Les bidons plus ou moins grands en carton épais avec un couvercle étanche en métal sont très chics (et très chers). Les gros bidons en fer ou les caisses en plastique sont aussi utilisés.

Au début, pour un usage domestique, j’ai utilisé des boîtes en métal de café entourées de papier kraft collé (pour des raisons purement esthétiques) et j’ai marqué le nom de la plante sur le couvercle. Pour les plus grandes quantités, j’ai utilisé des sacs en kraft double épaisseur.

Ce qui m’a posé problème était de me retrouver dans tout ces plantes et tout ces sacs pareils. Quand je cherchais une plante , c’était tout une mission. Petit à petit j’ai testé des méthodes de rangement. Certains producteurs divisent les contenants par racine/feuille/fruit/fleur. J’ai opté pour le système alphabétique. Il faut bien décider, si l’on utilise le nom latin ou français bien sûr. Une liste à l’évidence est bien utile pour cela.

Maintenant j’ai utilise des contenants avec couvercle en plastique assez longs. Les sacs sont les uns à côté des autres et à l’inverse, car je note le nom au fond du sac kraft au crayon papier ( nom /année)..comme ça, même si le sac se vide, je retrouve le nom et je ne suis pas obligé le sortir de la caisse. Je trie les plantes de façon début/milieu/fin d’alphabète et j’ai sépare les années de récolte. Les contenants passent au séchoir si jamais il faut enlever un peu d’humidité quand même.

Cette astuce ne va peut être pas être outil pour tout le monde, mais voilà où j’en suis. Si vous avez vos propres astuces, je suis également preneuse 😉

Belle journée à vous.

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